Fréquences et Santé

Que ce soit pour les scientifiques ou pour les chercheurs, il est compliqué d’affirmer l’existence d’ effets délétères des ondes électromagnétiques sur le vivant.

Trop de paramètres extérieurs peuvent influer sur les résultats – les différences d’âge de la population, le sexe, les consistances chimiques et polluantes de chaque individu ayant très souvent une corrélation entre sensibilité chimique et hyper-électrosensibilité, l’espace intérieure où vivent les personnes avec les appareils connectés, la consistance des sols, la pollution de l’air, le stress oxydatif..

Comment agissent les ondes sur le vivant

Une onde possède nécessairement une longueur d’onde chargée d’énergie. Dans le domaine strict de l’habitat et des lieux de vie, l’individu subit l’impact d’une multitude d’ondes naturelles et artificielles créées par l’homme. Les ondes naturelles sont pour la plupart génératrices de vie au contraire des ondes artificielles qui ne sont pas en accord avec le vivant et perturbent les échanges et vibrations cellulaires.

Les longueurs d'ondes et leur impact sur le vivant

Les ondes se propagent dans l’air librement mais peuvent également pénétrer le corps humain. La profondeur de pénétration des ondes dans les tissus humains dépend aussi des propriétés des tissus biologiques, la pénétration est plus importante dans les tissus ayant une faible teneur en eau tels que la graisse et les os que dans ceux ayant une forte teneur en eau, tels que les muscles ou la peau. Par exemple, la profondeur de pénétration dans les tissus ayant une faible teneur en eau est jusqu’à 10 fois plus importante que dans les tissus ayant une forte teneur en eau (source Anses)

Les longueurs d’onde dans les tissus ayant une forte teneur en eau sont d’environ 1,4 cm à 3,5 GHz et de 1,75 cm à 2,45 GHz (par exemple Wi-Fi), tandis que les longueurs d’onde dans l’air aux mêmes fréquences sont respectivement de 8,6 cm et 12 cm. Outre cette réduction importante des longueurs d’onde, une forte absorption d’énergie est observée dans les tissus dans ces bandes de fréquences.

Pour les ondes de très hautes fréquences concernées, plus la fréquence est haute, moins l’onde apparait comme pénétrante à l’inverse des ondes de très basses fréquences (courant EDF) dont les ondes pénètrent entièrement le corps humain avec de fortes conséquences sur le plan sanitaire. les ondes magnétiques créées par un moteur, un transformateur, un radiateur électrique sont susceptibles de déclencher des leucémies infantiles si on se trouve proche des appareils pendant une grande période de temps. La proximité de lignes HT à 50Hz est associée à un excès de leucémies de l’enfant

RISQUE = DOSE D’EXPOSITION / TEMPS D’EXPOSITION

Les effets des ondes 5G au dessus de 3,5 Gigahertz

Pour les fréquences autour de 26 GHz, la profondeur de pénétration des rayonnements est proche de 1 mm pour la peau humaine ou la cornée de l’œil, ce qui conduit à une atténuation quasi-totale à environ 3 mm de profondeur. Par contre, la pénétration des ondes se traduit par une transformation de l’énergie électromagnétique en énergie thermique. Dans le vide, la longueur d’onde 26 GHz est proche de 10 mm.

Entre 25 et 60 GHz s’ajoute des effets non-thermiques agissant sur les membranes cellulaires . L’exposition à ces fréquences de cellules du tissu conjonctif (tissu solide dont le rôle est de protéger les tissus et organes qu'il entoure comme la peau, les tendons et le cartilage) mais également l’exposition des cellules du cristallin, des cellules de la cornée et des globules blancs du sang du rat (leucocytes) ont montré des disfonctionnements de division cellulaire au niveau des chromosomes.(Anses)

En conclusion, les éléments de preuve disponibles ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’un effet génotoxique. Idem vasculaire, idem reproducteur et immunitaire.

La 5G mise sur orbite sans certitude d'innocuité

La 5G utilise dans un premier temps les bandes 3,4 - 3,8 GHz, ainsi que 26/28, éventuellement la bande 700 MHz déjà attribuée à la 4G, puis dans un second temps, les bandes de 38 et 60GHz (à l'intérieur des bâtiments). Une des nouveautés de la 5G est le multiplicité des antennes, qui pourront suivre plusieurs utilisateurs avec un rayon focalisé et sur des distances plus courtes. Les antennes seront donc plus nombreuses. Le cumul induit des expositions (2G+, 3G, 4G, 5G, IoT), leur caractère continu à terme, ainsi que les effets éventuels des émissions millimétriques de la couverture satellitaire associée (a priori peu sensibles, mais à vérifier) n’ont pas fait l’objet d’étude d’impact sanitaire et environnemental (ANSES)

Les résultats de ces études sont donc souvent non reproductibles et les séries épidémiologiques sans recul suffisant. Cependant, la non-reproductibilité d’un résultat concernant un impact sanitaire ne vaut pas preuve d’absence d’effet

Inquiétude et recommandations

Ce qui est inquiétant, c’est tout simplement la mise en avant des facteurs économiques devant les risques sanitaires qui restent en suspens. Les consommateurs ne se méfient pas assez La réelle possibilité de synergie entre les ondes THF et les polluants chimiques mutagènes ce qui est très grave car tout le monde possède dans son sang et dans son terrain adipeux des polluants chimiques causées par les médicaments, l’alimentation et la pollution de l’air. Pour limiter les risques, il faudrait agir sur ce qui est possible - protection contre les ondes - mais également protection contre la pollution atmosphérique que nous respirons tous les jours – Purificateurs d’air HyperHEPA

La prolifération des ondes cumulées et objets connectés
Ne plus être au contact intime avec la Terre et son potentiel
L’absence d’information sur les risques sanitaires cancérigènes concernant l’induction magnétique très basse fréquence.

L’homme en tant qu’espèce animal a aucune possibilité de s’adapter aux ondes artificielles qu’il a lui-même créées. Nous sommes loin des lois et de la magnificence de la nature. Quand on sait qu’en matière de communications entre individus ou entre espèces, des plantes excrètent plus de nectar en percevant le son spécifique du battement des ailes de leurs pollinisateurs ; le bourdonnement des abeilles comme le chant des oiseaux accélèrent la germination des graines….Tout cela est ondulatoire et vibratoire comme tout comme le sont nos propres cellules en accord avec les résonances électromagnétiques intra ou extraterrestres émises dans l’atmosphère et siège de la vie sur terre.